Soutien psychologique / Psychothérapie

En ligne

Pour QUI ?

TOUTE PERSONNE qui en ressent le besoin quelles qu’en soient les raisons, et qui souhaite et accepte cette rencontre

Un Public d’adultes et de jeunes adultes

  • Pas de tests psychotechniques
  • Pas de consultations d’enfants
  • Pas de situations d’urgence psychiatrique
EN SAVOIR PLUS EN CAS D'URGENCE

Rendez-vous au service d’accueil des urgences (SAU) de l’hôpital le plus proche du domicile de la personne. La plupart disposent d’un psychiatre de garde

Recherchez s’il existe un Centre d’accueil et de crise (CAC) ou un Centre d’accueil permanent (CAP) autour de chez vous. Dans ce cas, contactez par téléphone ou déplacez-vous jusqu’au centre le plus proche de votre domicile.

En cas de risque de suicide, appelez le 15 ou le 112 (n° d’appel d’urgence européen) ou le 3114 (n° national de prévention du suicide) si la personne a :

  • • Des idées suicidaires envahissantes ;
  • • Planifié le passage à l’acte ;
  • • Accès à des moyens permettant de réaliser son suicide (médicaments, arme à feu…)

Pour QUOI ?

Faire face à des situations telles que :

  • Dépression
  • Anxiété, stress
  • Mal être
  • Angoisses
  • Deuil
  • Manque de confiance en soi
  • Problèmes relationnels
  • Difficultés professionnelles
  • Maladie chronique…

Faire le point sur une situation complexe

Être accompagné à tout moment perçu comme difficile

Un soutien thérapeutique pour traverser et transformer vos difficultés et souffrances

Un accompagnement pour vous rapprocher de ce que vous êtes profondément

  • Si vos réflexions tournent en boucle et que vous vous sentez dans une impasse
  • Si tout est brouillé et que vous éprouvez le besoin d’y voir plus clair
  • Si vous avez envie de faire le point sans être jugé
  • Si vous ressentez le besoin de parler à une personne extérieure à votre situation et spécialisée dans les difficultés psychologiques…
  • Si vous ressentez un mal-être difficile à supporter
  • Si vous désirez une vie plus proche de vos aspirations…

Un psy « pour vos proches » ?

« Il a besoin de soutien… »

Vous pensez qu’un de vos proches aurait  besoin d’un soutien psychologique et vous avez peut-être raison. Pour autant, vous ne pourrez le forcer à consulter et il est impossible qu’un psychologue puisse l’aider s’il n’y est pas décidé par lui-même. En revanche, vous pouvez choisir de parler de vos inquiétudes et ainsi définir avec votre psychologue quelle est la meilleure attitude à adopter vis-à-vis de cette personne qui vous est chère.

Comment ? En LIGNE

Les consultations que je propose ont lieu pour le moment exclusivement en téléconsultation.

A condition d’un engagement mutuel psychologue/patient, cette forme de travail permet la présence et l’écoute attentive nécessaires à votre soutien.

Le soutien psychologique vous est ainsi accessible de là où vous vous trouvez, de l’endroit que vous choisissez. L’avantage est en particulier de limiter les déplacements coûteux en temps.

Toutes les informations pratiques au sujet de cette modalité de contact se trouvent dans la rubrique « Modalités et tarifs ».

téléconsultation smartphone

le premier entretien

Déterminer ensemble vos besoins

Le premier entretien est l’occasion de définir ensemble le cadre de notre travail, la fréquence, les modalités de travail…

Cette élaboration fondée sur l’écoute de vos besoins peut se poursuivre sur plusieurs séances et permet d’établir si votre demande relève d’un soutien psychologique ponctuel, ou d’une psychothérapie.

Quoiqu’il en soit vous vous exprimerez à votre rythme.

Si nécessaire, il est possible à chaque moment du travail engagé, de réévaluer vos besoins, d’y ajuster le cadre thérapeutique et les objectifs d’accompagnement ou de soins.

méthode de travail : l’entretien psychologiquE

Explorer votre situation, envisager de nouvelles perspectives

L’entretien psychologique diffère d’une conversation banale. Le/la psychologue est là spécifiquement pour vous entendre. Avec vous, il explore votre situation singulière, sur la base d’objectifs définis ensemble. Sa pratique ainsi que son expérience lui permettent d’éviter les projections, comparaisons et mécanismes propres aux conversations ordinaires.

Le/la psychologue, par son attitude disponible, attentive, neutre et bienveillante, crée les conditions utiles pour que vous puissiez clarifier votre perception et formuler ce que vous avez besoin de dire. A l’abri des jugements et protégé par le secret professionnel, le processus d’exploration de soi est facilité en toute sécurité.

Vous pouvez appréhender votre situation avec plus de recul que seul(e), de manière approfondie, et envisager de nouvelles perspectives. Ainsi, la souffrance se transforme et, les ressources nécessaires pour avancer et exprimer votre désir dans la vie quotidienne se libèrent.

 Démarche

Une pratique humaniste et intégrative

Ma pratique centrée sur la personne s’appuie sur la psychologie humaniste et s’est enrichie de plusieurs approches au fil du temps : psychanalyse, ethnopsychiatrie, psychodynamique du travail, clinique de l’activité, hypnose Ericksonnienne, toucher thérapeutique… qui sont autant de façon d’aborder l’humain et son fonctionnement.

Mon approche repose sur la notion d’élan ou de mouvement de vie qui pousse à accomplir et à s’accomplir.

Ma démarche prend en compte les dimensions affectives, comportementales, cognitives et spirituelles de la personne, et s’inscrit dans une approche intégrative.

Ni « trop près », Ni « trop loin »

Je recherche avec chacun – individu ou groupe – un « travail sur mesure », une juste distance qui permet le recul sur soi comme l’évolution et les perspectives nouvelles.

Ni « trop près », au risque de produire  un sentiment d’intrusion, ni « trop loin », au risque de manquer la rencontre.

Etablir une relation positive

Le plus important tient dans la qualité du lien qui sera établie avec votre psychologue.

On a coutume de dire « qu’il faut que le courant passe », et c’est vrai. Sans cette relation positive qui permettra d’instaurer le lien de confiance nécessaire au travail, aucune évolution ou transformation ne saurait se produire.

soutien psychologique ou psychothérapie ?

Quelle différence ?

Beaucoup d’entre vous s’interrogent sur la différence entre soutien psychologique et psychothérapie. Lorsque le besoin de soutien est lié à une problématique passagère, on a tendance à parler de soutien psychologique ponctuel, alors que l’on envisage la notion de psychothérapie dans un temps plus long et régulier, pour répondre à des problématiques de fond.

Mais en réalité, le choix de la démarche engagé s’opère en concertation avec le psychologue, en fonction des possibilités de représentation et de mise en mot de chacun, d’introspection, en fonction de son désir, de la relation établie avec le psychologue. Le travail envisagé est nécessairement proportionné aux besoins et possibilités de chacun.

QUELQUES INFORMATIONS Si VOUS HÉSITEZ encore…

Le premier pas

Le premier pas est souvent difficile à faire pour demander de l’aide parce que vous aimeriez « vous débrouiller » seul, parce que vous vous dites que vous allez y arriver, parce que vous ne supportez pas de vous voir vulnérable, parce que vous craignez le jugement des autres, parce que vous voudriez déjà avoir changé avant d’avoir commencé, parce que vous voudriez savoir exactement comment cela va se passer pour débuter les séances…

Pourtant, une fois le premier pas avancé, le processus se déroule naturellement, guidé par le/la psychologue.

Chacun est libre d’interrompre la démarche à tout moment, sachant qu’il est plus profitable d’en parler avec le/la psychologue qui vous suit.

Et si cela « ne se passe pas bien » avec mon psy ?

Il est fondamental de parler de « ce qui ne se passe pas bien » avec votre psychologue. Cela permettra :

  • soit une continuité de vos échanges sur de nouvelles bases
  • soit une orientation vers un autre professionnel qui vous correspondra mieux.

A PROPOS DE L’EFFICACITÉ DES PSYCHOTHÉRAPIES

Les psychothérapies sont efficaces

Les études montrent que les psychothérapies sont efficaces. Plus exactement, le suivi d’une psychothérapie est plus bénéfique que de ne pas avoir de suivi.

Aucune technique de psychothérapie n’est supérieure à une autre

Alors que l’on a assisté à de nombreux débats cherchant à valoriser un modèle théorique par rapport à d’autres, ou à montrer qu’une approche théorique peut être plus efficace pour des symptômes spécifiques, il apparaît qu’aucune psychothérapie n’est supérieure à une autre, quelle que soit sa technique ou son approche théorique.

La relation se situe donc au cœur du processus de changement

La variable clé de l’efficacité thérapeutique est constituée par l’expertise du clinicien, à savoir son aptitude personnelle à s’adapter aux attentes et à la problématique du patient et à ce qu’il y a d’unique chez lui.

Les a priori sur les psyS

Même pas vrai !!!

C’est pas normal d’en avoir besoin

Certaines circonstances et/ou moments de la vie nous mettent à l’épreuve, troublent notre équilibre affectif, familial, professionnel, nos capacités de jugement et d’action, perturbant parfois jusqu’à la possibilité de mener à bien sa vie… C’est ainsi que nous pouvons être conduits à un besoin de soutien, qu’il soit ponctuel ou régulier. C’est « humain » et utile pour faciliter un passage difficile.

C’est un signe de faiblesse de consulter

On ne consulte pas par faiblesse mais parce qu’on peine à y arriver seul. Il arrive que nos forces soient insuffisantes pour faire face aux évènements difficiles. Le besoin de soutien révèle une vulnérabilité inhérente à tout être humain, qu’il ne faudrait pas confondre avec de la faiblesse.

C’est pour les « fous »

Il n’y a pas besoin d’être « fou » pour avoir besoin d’aide. La souffrance est humaine. Le psy soutient toute personne en souffrance qui le souhaite.

C’est long, ça dure au moins 15 ou 20 ans

Pas nécessairement : ça dure le temps dont vous avez besoin. La durée du travail, ainsi que la fréquence des rencontres, s’établissent en concertation avec le psychologue. Il existe des soutiens brefs adaptés aux besoins exprimés en consultation.

Il faut raconter sa vie, « se mettre à nu », ça fait souffrir

Si l’on aborde certains éléments de l’histoire, c’est parce que cela vient à l’esprit de la personne en souffrance et que cela s’impose dans les échanges. Le fait de l’exprimer, fait moins souffrir que de le taire mais il n’y a pas « d’obligation de raconter sa vie de A à Z ». Ce n’est pas ce processus qui guide les entretiens.

Le soutien psychologique ne conduit pas toujours à vivre des moments tristes. Il comprend aussi des moments plaisants et de découverte.

Ça ne m’aide pas, il ne parle pas

Un psy parle, mais… « pas tout le temps ». Il s’exprime pour vous accompagner et non pour « faire la conversation ». Si certains silences sont trop pénibles, vous pouvez lui en parler.

Ça ne sert à rien, le psy ne donne pas de solution

Si le psy ne peut connaître « La solution », il aide chacun à construire son chemin pour avancer, et surtout à regarder les problèmes sous un autre angle et à identifier de nouvelles perspectives. C’est précisément ce qui contribue à la transformation des situations.

C’est inutile de voir un psy en cas de difficulté, car le temps arrange les choses

C’est parfois vrai, mais cela peut s’avérer insuffisant et nécessiter un accompagnement afin de faciliter l’évolution.