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COMPRENDRE « DE L’INTÉRIEUR »
Plus que l’expérience directe de la maladie et l’apparente similitude des troubles entre deux personnes, c’est bien la connaissance et la reconnaissance de notre vulnérabilité assumée qui constitue une assise solide pour soutenir les personnes en souffrance. C’est pourquoi il n’est pas nécessaire « d’avoir vécu le même trouble que » pour comprendre.
Psychologue en service de médecine. Pratiquer la clinique en « milieu hostile », quels possibles ?
Désolé, cet article est en attente de relecture. Merci de revenir ultérieurement.
Psychologue en service de médecine. Mémoires d’hier à aujourd’hui (Partie 1)
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BIENTÔT LA GUERRE A L’HÔPITAL ?
Ce n’est pas uniquement en raison de la surcharge de travail ou de la pandémie que l’on voit le climat relationnel se dégrader à l’hôpital. Cela avait commencé bien avant bien sûr. On parle beaucoup des agressions d’usagers à l’égard des personnels, mais, il existe une autre réalité moins connue. A l’image des personnes au sein des réseaux sociaux se critiquant avec véhémence, il est courant, que les professionnels s’agressent entre eux. Le ton est agressif, haineux, menaçant quelquefois, aigre dans le meilleur des cas. Face au défaut de valeurs professionnelles partagée, les clans se substituent aux équipes et apparaissent comme une réponse face au défaut de dynamiques de groupes professionnelles solides.
LA DÉPRESSION : SE REPÉRER DANS LES TRAITEMENTS (Partie 3)
Si la dépression est clairement sous traitée, les problématiques dépressives sont aussi « sur traitées » ou mal traitées, ce qui est peu documenté.
Beaucoup de personnes se sont vues prescrire un anti dépresseur alors qu’elles présentaient de simples signes dépressifs (symptômes adaptés à une situation donnée) qui ont été pris et traités pour une dépression avérée (Épisode Dépressif Majeur ou EDM) alors qu’ils auraient probablement été passagers et qu’une adaptation spontanée aurait pu avoir lieu. Il existe en ce cas une confusion entre tristesse « adaptée » et dépression. Seule une démarche diagnostique rigoureuse pourra lever cette méprise.
LA DÉPRESSION : SE RELEVER APRÈS LA CHUTE (Partie 2)
Pour se relever d’une dépression, Il est nécessaire de faire grandir les capacités à se détacher de « ce qui était », et de trouver en soi de nouveaux appuis pour y parvenir. Pour cela une l’aide d’un psychothérapeute peut s’avérer nécessaire. Encore faut-il reconnaître l’état dépressif pour en bénéficier.
LA DÉPRESSION : UNE INCAPACITÉ A SUPPORTER LE RÉEL (Partie1)
Bien que banal, l’usage du terme de dépression dans le langage courant est souvent inapproprié. Pour autant la fréquence de cette perturbation comme sa gravité potentielle méritent que l’on comprenne mieux sa nature et ses ressorts, et les traitements qui peuvent lui être réservés, qui peuvent être mis en place.